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« Je ne dis que ce que je vois » : 1914-1918
LIBRAIRIE CARCAJOU
« Je ne dis que ce que je vois » : 1914-1918
De Librairie Carcajou

LIBRAIRIE CARCAJOU
« Je ne dis que ce que je vois » : 1914-1918
De Librairie Carcajou
Albert Londres ne réécrit pas l’Histoire, il la vit au plus près, en donne environ deux cents échos qui, ensemble, posent un regard, posent un homme, lui fournissent une réputation toute nouvelle et déjà solide.
Nous n’avons, dans ce volume, compilé que les articles signés par Albert Londres. On sait qu’avant d’arriver à Reims en septembre 1914, il avait déjà écrit quelques grands articles. Mais, en l’absence de son nom après le point final, ils ont été écartés. En revanche, la lecture attentive, quatre années durant, des journaux pour lesquels il travaillait à cette époque a permis d’exhumer, en pages intérieures, quelques textes passés inaperçus dans des éditions précédentes. L’exhaustivité a été notre objectif, la rigueur dans la transcription tout autant. En comparant l’original et les diverses copies publiées avant celle-ci, des divergences apparaissent. Elles partent, pour la plupart, d’un bon sentiment : rétablir, dans des phrases parfois longues, à coups de virgules par exemple, un rythme convenu – alors que celui d’Albert Londres ne l’est guère, dans l’économie de respirations qui le caractérise. Sa prose est un flux tendu qui restitue, mieux qu’une langue classique, le tempo des événements.
Albert Londres ne réécrit pas l’Histoire, il la vit au plus près, en donne environ deux cents échos qui, ensemble, posent un regard, posent un homme, lui fournissent une réputation toute nouvelle et déjà solide.
Nous n’avons, dans ce volume, compilé que les articles signés par Albert Londres. On sait qu’avant d’arriver à Reims en septembre 1914, il avait déjà écrit quelques grands articles. Mais, en l’absence de son nom après le point final, ils ont été écartés. En revanche, la lecture attentive, quatre années durant, des journaux pour lesquels il travaillait à cette époque a permis d’exhumer, en pages intérieures, quelques textes passés inaperçus dans des éditions précédentes. L’exhaustivité a été notre objectif, la rigueur dans la transcription tout autant. En comparant l’original et les diverses copies publiées avant celle-ci, des divergences apparaissent. Elles partent, pour la plupart, d’un bon sentiment : rétablir, dans des phrases parfois longues, à coups de virgules par exemple, un rythme convenu – alors que celui d’Albert Londres ne l’est guère, dans l’économie de respirations qui le caractérise. Sa prose est un flux tendu qui restitue, mieux qu’une langue classique, le tempo des événements.









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